Découvrez les lauréats du Concours d’éloquence pour une Paix Durable 2023 !
- Sofia Deriche – 1er Prix
- Charlotte Jacq – 2ème Prix
- Tom Oudot – 3ème Prix
- Assia Dakari
- Rémi Berard
- Zohra El-Hachimi
Sofia Deriche – 1er Prix
Sofia réside à Aix-en-Provence, où elle poursuit ses études en master 2 d’anthropologie sociale et culturelle à l’université Aix-Marseille. Depuis toujours, elle est profondément sensible à la cause animale, ce qui l’a conduit à devenir végétarienne. Actuellement, elle se consacre à son mémoire de recherche qui explore le véganisme en France, cherchant à comprendre les dynamiques sociales et culturelles entourant ce mode de vie.
Cependant, Sofia ne se limite pas à ses aspirations académiques. Elle est également une poétesse inspirée et une autrice-compositrice-interprète talentueuse. Guidée par son amour pour l’écriture, elle a décidé de participer au concours de l’institut Jane Goodall. Cette initiative lui permet d’allier sa passion pour l’expression artistique à son engagement en faveur de la protection des animaux, dans la lignée des valeurs prônées par Jane Goodall.
Elle est intervenue sur le thème : « Si nous éliminons le sauvage, donc nous tuons une partie de nos âmes », une citation du Dr. Jane Goodall.
Charlotte Jacq – 2ème Prix
Charlotte est une étudiante en deuxième année à SciencesPo Saint-Germain. Pendant deux ans, elle a été membre active de l’association « Les Tribuns de Saint-Germain », et cette année, elle a été élue co-présidente de l’association.
Passionnée de lecture et d’écriture, son objectif ultime dans la vie est d’écrire un livre.
En dehors de ses activités académiques, Charlotte a un autre passe-temps créatif : la couture.
Charlotte est une personne engagée et passionnée par les enjeux sociaux. Elle participe activement à des manifestations et des rassemblements pour défendre ses convictions. D’ailleurs, c’est dans un parc à Berlin qu’elle a écrit le discours qu’elle prononcera ce soir, mêlant ainsi ses passions pour l’écriture et l’engagement environnemental.
Pour l’une de ses dernières prises de parole en public cette année, charlotte a répondu à la question posée par le Dr. Jane Goodall : « Si nous éliminons le sauvage, donc nous tuons une partie de nos âmes »
Tom Oudot – 3ème Prix
Tom vient de terminer sa dernière année de Master en management du changement et communication à Aix en Provence.
Que pensez-vous de l’affirmation suivante : Ceux qui font avancer les choses dans le monde sont ceux qui maîtrisent l’art de la parole et de la rhétorique ? C’est une question que s’est posé Tom, et qu’il m’a partagé. S’il participe aujourd’hui au concours d’éloquence, c’est non seulement parce qu’il aime se challenger lors de présentations orales, mais c’est aussi et surtout pour lui l’occasion de confirmer que la parole est un moyen puissant pour faire bouger les lignes.
Il est intervenu sur le thème : « La nature doit elle être protégée par des lois pour être respectée »
Assia Dakari
Assia est actuellement en Master 1 de droit pénal à Saint-Etienne. Depuis toujours, elle a une passion pour l’écriture, qui lui permet de s’exprimer et de faire passer des messages.
Dans sa vie quotidienne, elle utilise sa voix pour sensibiliser son entourage aux questions environnementales. Elle m’a d’ailleurs confié qu’elle s’était au départ inscrite au concours car il était précisé qu’à chaque inscription, le JGI s’engageait à planter un arbre. Elle est également particulièrement sensible aux questions liées au respect des droits de l’Homme et des libertés fondamentales.
Elle s’est exprimée sur le thème : « La paix est-elle un espoir vain »
Rémi Berard
Rémi est un étudiant originaire d’Auvergne. Après avoir suivi une classe préparatoire scientifique à Lyon en PT, il poursuit actuellement sa première année d’école d’ingénieurs à l’EPF. Passionné par l’éloquence, il a rejoint cette année l’association EPF Éloquence, où il peut développer ses talents de communication et d’expression.
Mais Rémi ne se limite pas à ses études scientifiques et son goût pour la parole. Il est également un violoncelliste accompli, et plus encore, un véritable « artiviste ». Il utilise l’art comme moyen d’action et d’engagement. Son premier voyage intitulé « Mon histoire du violoncelle » l’a conduit à travers l’Europe, à la rencontre de son instrument bien-aimé.
Par la suite, Rémi s’est lancé dans un deuxième périple captivant : « Sur les traces des glaciers ». Il a exploré les majestueux glaciers alpins de Chamonix, étudiant l’impact du réchauffement climatique sur ces formations naturelles et l’adaptation de l’Homme à ce phénomène. Pour sensibiliser aux enjeux montagnards, il a joué là-haut le prélude de Bach sur son violoncelle qui se nomme « Chiara ».
Incarnant la combinaison unique de la science, de l’art et de l’engagement, Rémi est intervenu sur le thème : « La nature doit elle être protégée par des lois pour être respectée »
Zohra El-Hachimi
Ce n’est pas parce qu’on est jeune qu’on n’est pas légitime, c’est en faisant du bruit qu’on se fait entendre : ce sont les mots que m’a partagé Zohra, et qui sont une parfaite introduction pour vous présenter la 1ère finaliste du concours d’éloquence.
Zohra est actuellement en L1 de droit à La Sorbonne. Le nom de Jane lui est familier depuis son plus jeune âge, grâce à sa maman qui lui a parlé de ses découvertes et de son parcours passionnants. Elle défend de nombreuses causes, et il lui tient particulièrement à coeur de sensibiliser aux conflits dans le monde qui sont parfois moins médiatisés.
Elle s’est exprimée sur le thème suivant : « La paix est-elle un espoir vain »