Anthony Chasle

J’ai toujours été passionné par les animaux. J’ai grandi à leur contact, j’ai été entouré par leur présence, à la maison ou au parc zoologique voisin dès mon plus jeune âge. Après avoir un temps envisagé des études de vétérinaire, j’ai pris un autre chemin professionnel.

Aujourd’hui, dès que je le peux, en vacances ou tout près de chez moi, mon plus grand plaisir est d’admirer les animaux, de les voir évoluer librement dans leur milieu naturel ! Quel plus beau spectacle que celui de la nature ?!

Ce respect du vivant, je le dois à mes parents mais aussi à Jane Goodall…c’est comme si elle avait toujours fait partie de la famille. Je me souviens des couvertures de National Geographic et des documentaires que nous regardions avec passion ! Jane n’était jamais bien loin et on peut dire que j’ai grandi avec elle.

Je soutiens le Jane Goodall Institute France depuis de nombreuses années et puis, au regard de l’actualité, j’ai décidé de m’impliquer davantage et de consacrer une partie de mon temps personnel au Jane Goodall Institute. Avec une équipe de bénévoles nous communiquons sur nos actions de terrain et nouons des partenariats qui ont du sens.

J’admire Jane pour son énergie inlassable, son incroyable espoir, pour sa vision globale qu’elle nous propose d’adopter. En effet, comme elle, je considère que tout est connecté et que chaque geste compte. Une relation apaisée entre les hommes, les animaux et la nature est possible à nous de faire les bons choix.

Cyril Michel

Je suis passionné depuis toujours de faune et de flore.

Une phrase de Jane a été pour moi un grand déclic : “Only if we understand, can we care. Only if we care, we will help. Only if we help, we shall be saved.”

Cette phrase a immédiatement résonné en moi et en ce que je pensais déjà.

Pour protéger la nature, je me suis engagé depuis plus de 20 ans et j’agis dans différentes organisations d’éducation et de protection de l’environnement dont le Jane Goodall Institute.

Pour protéger et restaurer la nature et la vie sauvage, entre autres actions et initiatives, je diffuse, applique et fait appliquer la notion de « jardin écosystème » : 89 % des français dispose d’un jardin ou d’un espace extérieur, en tout cas d’un espace propice à la biodiversité (jardin, terrasse, balcon, rebord de fenêtre): Ce sont des territoires que l’on peut gérer à notre guise, d’une manière utile, belle et agréable, pour nous même et pour la vie sauvage.

La nature est extrêmement résiliente dès lors qu’on lui laisse la place de s’exprimer et se développer.

Il est possible à chacun.e de penser et aménager ces territoires pour y favoriser, accueillir et héberger la biodiversité, y favoriser l’écosystème, cultiver une alimentation saine, et être un refuge pour les animaux.
Il est ainsi possible à chacun d’avancer vers plus d’autonomie alimentaire saine, de contribuer à la sauvegarde et restauration de la biodiversité de manière concrète là ou chacun se trouve, et de s’émerveiller.

C’est possible et c’est plus que nécessaire, pour contrer l’effondrement actuel de la biodiversité, qui constitue une grave atteinte à la biosphère mais aussi une terrible menace pour la santé humaine, le bien vivre, la beauté du monde, et l’avenir de la vie sur Terre y compris celle d’Homo sapiens.

Vous pouvez suivre « Un Jardin écosystème » sur la page Facebook : https://www.facebook.com/jardinecosysteme/

Je suis aussi expert de l’ISO 26000, la norme internationale de référence pour la responsabilité environnementale et sociale (RSE) dans les organismes, et la met en œuvre depuis 15 ans dans des entreprises.
Le monde économique a en effet un immense rôle à jouer face aux enjeux humains et environnementaux de notre époque.

J’exerce également des activités de communication et marketing responsable.

Thierry Guillot

Après des études graphisme et marketing, j’ai travaillé 35 ans dans les domaines de la publicité.dans différentes agences, comm, packaging, promo et au sein de mon studio de créa Artwood design graphique pendant 20 ans jusqu’à début 2015 ou un « appel” m’a fait revenir à ce que j’aime avant tout, la créativité et la création pure, une remise en question nécessaire.J’ai toujours aimé la Grande Histoire, la nôtre, archéologie, géologie , et biodiversité par les voyages avec mes parents dans ma jeunesse, eux mêmes passionnés par la beauté de la nature, photo, vidéo, peintures.

Depuis 30 ans je multiplie les créations, expos de mes travaux, graffitis, peintures, aquarelles, sculptures, gravures sur verre, passionné par le règne animal la nature, et les combats qui font évoluer notre espèce.

Un accident cérébral dans les années 80, m’a fait passer quelques minutes à travers le Grand tunnel d’où on ne revient pas…je n’ai pas réussi à aller toucher cette lumière tellement apaisante et attirante, mais je suis revenu par miracle, changé à jamais avec une boulimie décuplée de partager amour, expériences, et la beauté de ce qui nous entoure.

C’est grâce à mes gravures sur verre que Céline Levy-Chebat m’a contacté pour me rencontrer et m’a proposé de venir rejoindre les forces vives du JGiFrance, en tant que soutien graphisme et soutien créatifs. Quelles rencontres depuis avec tous ces acteurs tellement irradiants et beaux.

Jane Goodall et les grands primates étant , comme tant d’autres, des modèles depuis longtemps, je vis un rêve éveillé tant ses actions sont concrètes , et je me fais un plaisir de participer au mieux avec mes armes à toutes les activités qui peuvent mettre à l’honneur son parcours et le bien être que procure sa sagesse, ses enseignements, l’amour et le don de soi pour l’Autre.

J’essaie de créer avec des enfants le plus possible et ai moi -même participé à développer une association dans la somme où je partage l’envie de créer par soi même ce qui nous fait du bien.

L’association se nomme lez’arts du coeur est basée à Thory (80) et réalise pour le moment des graffitis pour EDF sur des transfos électriques, de nichoirs pour oiseaux fait-mains en bois etc…

Mon rêve éveillé serait de réunir des fonds pour organiser une belle manifestation avec des amis graffeurs, et créateurs pour vendre aux enchères des toiles, et autres créations originales animalières dont une partie des bénéfices iraient au Jane Goodall Institute rance :

Julie Berliet

Depuis toute petite, je porte un intérêt particulier au monde animal, mais j’ai construit ma vie en ville, éloignée de ces sujets.

A l’aube de mes 40 ans, j’ai eu besoin de me reconnecter à cette passion. Alors comment m’engager à leurs côtés, et puis aimer les animaux, c’est comme tout le monde non ? Cela me paraissait impossible.

C’est alors que je retombe sur un vieux film : Jane. Je le montre à ma fille, tant il m’avait interpellé petite. Et c’est ainsi que, je découvre le JGI et les actions de Jane qui perdurent, et puis le JGI France et ses actions.

Le message de Jane est comme une évidence pour moi : tout le monde peut agir à son niveau, quel qu’il soit.

Que L’Espoir, un mot qui semble si banal, a pourtant tout son sens, car sans espoir, pas d’action ! Et que au plus nous agissons au plus nous inspirons les autres : un cercle vertueux.

Alors oui, ces mots m’ont ouvert la porte, tout simplement. Ils m’ont permis d’oser, d’agir.
Il aura suffit d’un mail, d’une rencontre, et me voici impliquée aux côtés d’une équipe formidable.

Vivant à Lyon, mon implication au sein du JGI France, est de faire connaître l’association et développer des partenariats sur le territoire, auprès d’entreprises, écoles, collectivités…

Le JGI m’apprends tous les jours, m’éveille à des problématiques fondamentales, que je peux transmettre à mon tour, à mon entourage, au travail, à ma fille.

La transmission, la sensibilisation : une action en soi qui à toute son importance. Le programme « Roots & Shoots » en est une application concrète !

De petites actions en petites actions, je suis fière de faire ma part, et espère à mon niveau, en inspirer d’autres.

Aline Rutily

Le premier fil conducteur de ma carrière et de ma vie, c’est ma dévotion aux projets qui font sens pour moi, que ce soit dans ma vie privée, dans ma vie professionnelle ou dans ma vie associative. Je pense que chacun.e fait des choix quotidiens qui ont un impact sur nos sociétés, j’essaye d’agir en conformité avec mes valeurs.

Le deuxième fil conducteur qui me caractérise est que je crois à l’importance du dialogue, une conversation peut changer une vie. Dans un monde aussi complexe que le nôtre, il me paraît fondamental d’être sincèrement ouvert aux autres. C’est pour cette raison que j’ai choisi de faire une carrière dans les médias, puis dans le conseil des dirigeant.e.s.

En lien avec ces deux fils directeurs, j’ai naturellement rejoint le JGI parce que la cause me touche et que j’avais confiance en Jane Goodall. Mais j’ai surtout rejoint parce que l’équipe est ouverte, passionnée, didactique, efficace, super sympa et très soucieuse de l’éthique, c’est essentiel pour moi.

Nadine Adam

J’ai connu le JGI grâce au photographe Michel Pourny qui m’en a parlé avec tant d’émerveillement .

Il m’a expliqué que je pourrais y faire du bénévolat, moi qui suis née en Afrique , au Niger, et qui aime tant les animaux.

J’ ai rencontré Galitt Kenan , la directrice, qui m’a accueilli avec un immense sourire et des paroles tellement bienveillantes, que je me suis tout de suite senti à l’aise .

Puis toute l’équipe , chaleureuse, ouverte, passionnée , qu’ à chaque rencontre, c’est de belles retrouvailles d’une grande famille et amis.

Plein de beaux projets, de beaux films sur les animaux, des conférences tellement instructives , de belles rencontres avec toutes sortes de personnalités les plus incroyables les unes que les autres, des vernissages d’artistes animaliers, etc etc.

Et évidemment, la rencontre de Jane Goodall, cette femme si courageuse, extraordinaire, simple, humble, rayonnante et dévouée à la nature, aux animaux, aux singes, aux humains , qui a parcouru le monde pour partager ses découvertes, qui a écrit de merveilleux livres, et mis en places des projets comme « Roots and Shoots » pour tous ceux qui veulent aider comme elle.

Je vous invite à découvrir le parcours de cette femme qui est un exemple de bonté, bienveillance et d’intelligence du coeur.

Et si vous aussi vous aimez la Nature et les Animaux, investissez vous comme bénévoles et participez avec vos atouts. Merci pour eux.

Immense MERCI à Michel Pourny, à Galitt Kenan pour cette si belle rencontre et tout ce qui en a découlé.

GRATITUDE

Mary Lewis

Mary Lewis est Vice-Présidente du Bureau de la Fondatrice – Global. Elle est aussi l’assistante du Dr Jane Goodall. Elle est également membre du conseil d’administration des directeurs du Jane Goodall Institute Legacy, du Jane Goodall Institute UK et représente le Dr. Jane quand nécessaire, au conseil d’administration du Jane Goodall Institute USA.

Mary Lewis is Vice-President in the Office of the Founder-Global.   She is also Dr Jane Goodall’s assistant. She is also a member of the Board of Directors of the Jane Goodall Legacy Foundation,  the Jane Goodall Institute UK and represents Dr. Jane when necessary on the Board of the Jane Goodall Institute USA. 

(et non, elle ne dort pas la nuit !)

Mais ces titres ne rendent pas honneur à son rôle auprès du Dr. Jane Goodall et de tous les chapitres du Jane Goodall Institute dans le monde et particulièrement du Jane Goodall Institute France !

On le sait tous, aux côtés de chaque personnalité inspirante, de chaque personnalité publique, il y a une personne clé. Cette personne est à la fois son bras droit, son ami, son confident, son cerbère. Ils communiquent par le regard, le sourire. Se connaissent depuis si longtemps qu’ils n’ont pas toujours besoin de mots.

Telle est Mary Lewis. Pour le Dr. Jane Goodall et pour tous les chapitres du Jane Goodall Institute…

Mary est toujours là pour nous tous. Pour nous guider, rattraper nos erreurs, nous raconter comment les choses ont évolué … Elle fait le lien entre Jane et tous les Instituts et gère son agenda d’une main de maitre : une journaliste du journal anglais « Le Guardian » l’a décrite comme « férocement compétente » !

Depuis 1995, elle a accompagné Jane dans de très très très nombreux voyages, rencontré les grands de ce monde, les activistes, les officiels et les jeunes des groupes Roots & Shoots de Jane Goodall partout ! Son rôle n’a cessé d’évoluer au sein de l’Institut et elle a reçu en 2021, à l’occasion des 30 ans du programme Roots & Shoots, un Prix d’Excellence pour l’ensemble de ses réalisation (Lifetime Achievement Award from Roots & Shoots). Elle est bénévole au JGI UK depuis le début des années 90 et a rencontré Dr. Jane aux Etats-Unis quand son entreprise de l’époque Conco Inc- aidait Dr. Jane à la construction de ce qui est devenu le Sanctuaire de Tchimpounga. 

Elevée à la campagne en Grande-Bretagne, entourée d’animaux, elle partage aujourd’hui son temps entre Londres et Orkney quand elle n’accompagne pas Dr. Jane.

Elle aime les animaux – et particulièrement les chiens et les chevaux- être dans la nature et (presque) tous les êtres humains !

Raised in the countryside in the UK, surrounded by animals, she now divides her time between London and Orkney when not accompanying Dr. Jane. 


Thank you to her for her kindness, efficiency, humility and benevolence!

Merci à elle pour sa gentillesse, son efficacité, son humilité et sa bienveillance !

Merci Mary !

L’équipe du Jane Goodall Institute France

Gwendoline Oliviero

Je m’appelle Gwendoline et je suis responsable de la communication de National Geographic en France depuis 2011. C’est par ce biais que j’ai rencontré pour la première fois Jane en 2016 lors d’une conférence à Madrid. Et cette première rencontre a été un véritable électrochoc.

Comme beaucoup je pense, je connaissais Jane de nom sans vraiment la connaître. Son discours plein d’empathie et de passion m’as transportée et émue au delà de ce que je pensais possible. Sa démarche va bien au delà de ce que l’on pense. J’ai pu à mon tour apporter une petite pierre à l’édifice en 2017 alors que j’ai eu la chance incroyable de promouvoir le film sur ses jeunes années à Gombe, « Jane » de Brett morgen. J’ai automatiquement contacté le Jane Goodall Institute en France pour que cette sortie soit aussi retentissante que possible et surtout que le film permette au plus grand nombre de découvrir ou redécouvrir l’incroyable travail de Jane. Nous avons réunit autour de Jane près de 2 000 personnes au sein de l’UNESCO et à ce jour cette soirée reste ma plus grande fierté professionnelle.

Aujourd’hui on ne peut plus fermer les yeux sur l’urgence climatique et comme le rappelle Jane inlassablement, chaque action compte. Chaque personne compte. C’est le collectif qui fait notre force. J’y pense tous les jours. C’est le message de Jane qui me porte au quotidien pour essayer d’avoir une consommation plus responsable et pour continuer sans relâche à sensibiliser les gens autour de moi. N’oubliez jamais que vous faites aussi partie de ce collectif et que vous avez aussi un rôle à jouer. 

Claire Guibert

Vous connaissez l’effet boule de neige ? C’est ce qui s’est passé lorsque j’ai décidé de m’impliquer au Jane Goodall Institute.J’ai toujours été admirative du travail de Jane et quelque part j’aurais aimé vivre sa vie : partir en Tanzanie, prendre le temps d’étudier les chimpanzés en pleine nature et partager leur quotidien.Puis dans mon parcours professionnel, j’ai travaillé aux côtés de Galitt pendant plusieurs années. Elle est ensuite devenue directrice de l’Institut en France et m’a proposé de m’impliquer localement dans la région de Bordeaux. C’était donc une évidence !

Ce qui donne du sens à notre action, c’est de nous tourner vers la jeunesse, de les accompagner et les encourager à agir localement pour un monde meilleur, à travers le programme Roots and Shoots. Les échanges que l’on a pu avoir avec des étudiant.e.s, lycéen.ne.s, et collégien.nes sont extrêmement riches.

Et c’est pour elles et pour eux que je souhaite m’investir dans un contexte inévitable d’urgence climatique où chaque action individuelle et collective compte.

Fabien Ollivier

J’ai grandi à la campagne dans un coin sauvage de la Bretagne. J’ai un profond respect pour les arbres qui ont un grand âge (chaînes et séquoias notamment) et plusieurs grands prédateurs me fascinent : les aigles, les loups… 

Je suis tombé amoureux des chimpanzés il y a quelques années. Grâce aux livres de Jane Goodall, Frans de Waal, Sabrina Krief et surtout aux récits d’un ami qui s’est beaucoup investi dans différents projets en Afrique. Tout ceci m’a poussé à faire un volontariat de 6 mois au Centre de Conservation des Chimpanzés en Guinée Conakry il y a 6 ans. La malice des chimpanzés, les émotions partagées avec eux ont bouleversé mon regard sur les grands singes. 

L’année dernière, j’ai souhaité m’investir au Jane Goodall Institute. Je connaissais l’institut du fait de sa fondatrice bien sûr mais aussi grâce à la bonne réputation qu’il a, notamment en Afrique. Jane a fondé l’institut en 1977 et mène ses recherches à Gombe depuis 1960. C’est une structure solide et qui construit les choses dans le temps. 

Au sein du Jane Goodall Institute France j’ai trouvé un petit groupe de personnes motivées, déterminées, bienveillantes et animées d’une énergie positive.

Il est important pour moi de sensibiliser les hommes à la cause animale et à la préservation de la biodiversité. La planète regorge de paysages, d’espèces animales et végétales fascinants. Préservons les ! 

Roxane Batt

Je m’appelle Roxane, je suis juriste de formation et engagée pour la préservation de l’environnement et la protection des animaux.

J’ai rejoint le JGI France en septembre 2020, après avoir échangé avec sa directrice Galitt K., suite à un podcast de Mouvement UP dans lequel elle intervenait. Son enthousiasme, sa passion et sa bienveillance ont tout de suite fait écho. Je lui ai expliqué mon parcours et mes réflexions, et Galitt m’a spontanément proposé de construire avec elle le pôle plaidoyer. Cet échange et sa confiance m’ont tout de suite donné envie de sauter à pieds joints dans l’aventure. Rejoindre le JGI a donc été une décision non programmée mais tellement évidente !

Ma première année d’engagement a été extrêmement riche et marquante. Non seulement le défit que représentait la création du pôle m’enthousiasmait, mais j’ai aussi eu l’immense chance de rencontrer Jane pour la première fois. Jane est une femme inspirante en tout point, elle réveille en chacun l’envie de s’investir et d’agir concrètement. J’ai été marquée par son naturel et sa force, sa conviction et sa douceur, l’espoir qu’elle propage. Lorsque Jane parle, les gens l’écoutent. Elle a un véritable pouvoir sur son auditoire. 

En trois ans, le pôle plaidoyer a bien grandi et j’en suis désormais la coresponsable avec Laura P. Nous construisons avec l’équipe les campagnes et nous les coordonnons.

Le JGI mêle une palette de profils aux horizons différents, qui ont tous en commun un engagement fort, vibrant. Pouvoir travailler ensemble de façon transverse est enrichissant et passionnant. La création du pôle plaidoyer a également été un vrai enjeu pour moi, car il fait partie des actions qui sont chères à Jane. Notre rôle est de porter des messages en suivant son approche, d’interpeller et de sensibiliser non seulement les législateurs mais aussi le public sur des problématiques et des enjeux forts, pour réussir à faire bouger les choses.