Ce sont 410 hectares de parcelles de terre au sein des paysages fragmentés des forêts côtières tanzaniennes que le Le Jane Goodall Institute Protège et sécurise depuis maintenant 2 ans. Ces zones abritent des milliers de plantes et d’animaux qui ne se trouvent nulle part ailleurs sur terre (espèces endémiques). Elles ont une grande valeur en termes de services écosystémiques.

Le projet a démarré par des réunions de consultation des communautés dans 10 villages pilotes, afin d’introduire et de faire accepter le projet dans les réserves naturelles d’Amani, d’Uluguru, de Pugu, de Kazimzumbwi et de Ruvu South.

Quinze réunions ont été organisées avec 220 chefs de communautés villageoises pour discuter de l’importance de la restauration des forêts, des activités de restauration, de l’évaluation des ressources naturelles dans leurs villages et de la manière dont le projet peut être mis en œuvre et réalisé dans leurs paysages.

Quelques chiffres clés

9

villages impliqués

50

écoles participantes

51

groupes Roots & Shoots créés

4908

jeunes engagés

50 conférences ont été organisées dans les écoles primaires et secondaires de la zone du projet afin d’améliorer la compréhension des questions de conservation et d’inspirer la génération de jeunes ambassadeurs de l’environnement grâce aux réseaux d’un puissant système de groupes Roots & Shoots. Ce sont ainsi 51 groupes Roots & Shoots qui ont été créés, regroupant 4 908 élèves, dont plus des ¾ sont des filles. Écoles qui désormais bénéficient du réseau puissant du programme Roots & Shoots et autant de jeunes qui seront, nous l’espérons, les leaders empathiques et conscients de l’interaction du vivant dans la Tanzanie de demain.

Plus d’un million de semis ont été préparés par ces jeunes, en collaboration avec les autorités qui collaborent sur le projet.

Quelques chiffres clés

410

hectares sécurisés et protégés

1 million

de semis préparés et plantés

Le projet a pris soin de créer des zones pare-feu, de prendre en compte les changements climatiques si importants sur ces forets côtières, et de sensibiliser et lutter contre l’utilisation non durable des ressources forestières dans les villages situés dans la zone du projet.

C’est un projet local, aux impacts importants et mesurables pour la restauration et la régénération de ces forêts côtières tanzaniennes mené avec professionnalisme, cœur et passion par les équipes du Jane Goodall Institute Tanzanie.
Un projet qui œuvre sur le temps long tant pour les hommes, les autres animaux que leur environnement partagé.

Un projet à l’image du Jane Goodall Institute.

Merci à Maisons du Monde Foundation pour leur soutien à ce beau projet, comme à tant d’autres, réalisés en commun au Sénégal, en Tanzanie et en France.