Au Jane Goodall Institute, nous œuvrons au quotidien pour un monde meilleur pour les animaux, les humains et la nature.

Chacun d’entre nous agit.

Certains sont vétérinaires, d’autres chercheurs, agronomes, professeurs, médecins, infirmiers, logisticiens, mères de substitution pour les chimpanzés, éco-gardes ou gardes forestiers…

D’autres accompagnent les jeunes qui veulent agir pour changer le monde, incitent les jeunes filles à avoir confiance en elles, assistent ceux qui débutent un nouveau projet (apiculture, karité…)
Mais surtout, bénévoles ou pas, tous donnent avec leur cœur leur temps et leur énergie.

Voici certains d’entre eux !

Rebeca Atencia

Responsable du sanctuaire de Tchimpounga

Rebeca a créé le sanctuaire de Tchimpounga en République du Congo avec le Dr. Jane Goodall. 

Vétérinaire, elle accueille, soigne, prend soin des chimpanzés issus du trafic illégal ou victime de la déforestation. Elle a agrandi le sanctuaire pour disposer d’îles où sont relâchés les chimpanzés qui peuvent revenir à la vie sauvage mais doivent être protégés. 

Le sanctuaire œuvre également à la lutte contre la déforestation et la fragmentation de l’habitat naturel et sensibilise les communautés locales à la richesse de leur environnement. Nombre d’entre elles travaillent au sein du sanctuaire.

Sur cette photo, Rebeca et les rangers libèrent la femelle chimpanzé Louise sur l’île de Tchindzoulou Tchimpounga.

Fernando Turno

Le photographe du Jane Goodall Institute

Fernando Turmo

​Fernando travaille depuis plus de 15 ans sur le terrain. C’est lui qui prend la grande majorité de photographies que nous relayons. Les moments de joie que nous partageons avec vous. Mais aussi les moments plus difficiles… 

Une responsabilité énorme : certaines de ces photos ont fait le tour du monde et permettent de sensibiliser le plus grand nombre au travail de terrain du Jane Goodall Institute.

Une fenêtre sur le terrain, une fenêtre d’espoir pour te montrer qu’on peut changer le monde !

Antonette

Une maman de substitution pour les chimpanzés

Antonette est une « maman de substitution » pour les chimpanzés qui arrivent au centre de réhabilitation de Tchimpounga, au Congo.

Sur cette photo elle tient dans ses bras Jeje. Comme la majorité des 140 autres chimpanzés actuellement pris en charge dans le sanctuaire, Jeje est orphelin.

Il faut savoir que pour un chimpanzé récupéré dans le cadre du trafic illicite, on considère que 10 autres meurent. Et les bébés, restés orphelins, ne pourraient se remettre de ce traumatisme, sans le dévouement, l’engagement jour et nuit de leurs gardiens, de tous ceux qui prennent soin d’eux au quotidien comme Antonette.

Les rangers

Les héros en danger

Les rangers, les éco-gardes, les gardes-forestiers luttent au quotidien contre une menace de plus en plus grande et structurée. 

Ils se battent contre la déforestation, contre le trafic illicite des animaux sauvages. 

Ils mettent leur vie en danger pour protéger la faune et la flore. On considère que plus de 1 000 rangers ont été tués au cours des 10 dernières années.

Les rangers formés par le JGI, utilisent des téléphones portables lors de leurs patrouilles. Ils téléchargent toutes les informations nécessaires (alertes de déforestation, sites d’abattages illégaux, pièges pour animaux,…) sur une application nommée « Forest Watcher », Ces informations sont relayées par des satellites encerclant la Terre. Et les informations sont ainsi utilisées pour informer en temps quasi réel.

Machozi Mizaba

Une infirmière au grand coeur

​Le Jane Goodall Institute travaille avec et pour les populations locales qui vivent près des sanctuaires et lieux que nous préservons. Ce sont eux qui décident quand et comment nous agissons sur le terrain. 

Machozi visite sans relâche plus de 100 villageois par mois. En vélo, souvent avec son enfant sur son dos, elle va de village en village malgré les routes cahoteuses et la situation parfois difficile. 

Elle parle de santé maternelle, de contraception. C’est le relais sur le terrain des dispensaires créés et gérés par le Jane Goodall Institute.

Federicon Bogdanowich

De bénévole à directeur de Jane Goodall Institue Espagne et Sénégal

Immigré en Espagne et inspiré par l’exemple de la Dr Jane et sa célèbre phrase « chacun de nous fait une différence », Federico a commencé comme bénévole au JGI Espagne il y a 13 ans, faisant des traductions et des autres collaborations. Puis il a quitté son travail pour créer un programme innovant d’éducation environnementale pour le JGI, qui a été primé par la ville de Barcelone. Il a étudié un master en primatologie, et est devenu responsable des campagnes de recyclage et de sensibilisation du JGI et des projets pour promouvoir la conservation de la biodiversité. Après de nombreuses années de travail acharné et d’engagement, Federico est devenu le directeur général du JGI Espagne et le responsable de l’équipe du JGI qui mène des programmes de conservation et de recherche au Sénégal et en Guinée pour protéger les chimpanzés et leur habitat, et aussi pour promouvoir le développement durable et l’éducation environnementale des populations locales.

Les graines d’espoir plantées par la Dr Jane portent leurs fruits partout dans le monde !

Peter Apell

Un vétérinaire dévoué en Ouganda

​Peter est vétérinaire et travaille avec le Jane Goodall Institute en Ouganda.

Bien qu’intimidé au début par l’étendue de la tâche, Peter a dédié sa vie à protéger et à prendre soin des 5 000 chimpanzés vivant à l’état sauvage en Ouganda tout en se préoccupant de leur habitat naturel et des populations locales… plus qu’un travail, une passion, un engagement au quotidien.